Rugby : Cameron Woki aime-t-il réellement son métier ou est-ce simplement une profession ?

Rugby : «Je ne suis pas passionné par ce sport. C'est mon métier, je l'aime mais pas plus», avoue Cameron Woki

Une élimination difficile à encaisser pour Cameron Woki

Une déception qui perdure

Cameron Woki, le deuxième-ligne du Racing 92, s’est récemment confié dans une interview accordée au Parisien. Il est revenu sur l’élimination de l’équipe de France en quarts de finale de la Coupe du monde de rugby. Pour lui, cette défaite a été difficile à digérer, étant donné l’investissement total qu’il avait mis dans cette compétition. Il a avoué avoir eu du mal à tourner la page, revoyant même le match à deux reprises sur son téléphone portable. Heureusement, il a pu compter sur le soutien de sa compagne et de sa famille pour affronter cette période délicate.

Une saison compliquée avec le Racing 92

Le joueur du Racing 92 est également revenu sur sa saison 2023 avec son club. Il a avoué avoir pensé à plusieurs reprises qu’il ne participerait pas à la Coupe du monde en raison de ses performances décevantes avec son équipe. Blessé et absent lors du Tournoi des Six Nations, il avait du mal à croire en sa participation à la compétition. Cependant, il a finalement pu disputer tous les matchs, ce qu’il a considéré comme une revanche personnelle. Malgré les difficultés, il reste reconnaissant de pouvoir représenter son pays et profiter de chaque moment passé en équipe de France.

Une déconnexion totale hors des terrains

La foi catholique et la mode pour s’évader

En dehors du rugby, Cameron Woki aime se déconnecter totalement de son sport. Il a confié qu’il avait besoin de couper avec le rugby dès qu’il quittait le club. Il s’intéresse beaucoup à la mode, se balade dans Paris, rencontre des personnes et trouve son équilibre dans ces activités hors du terrain. Il ne se considère pas comme un passionné du rugby, mais plutôt comme quelqu’un qui aime son métier. Il avoue préférer regarder le football à la télévision et être un fervent supporter du PSG. Pour lui, le rugby reste son travail, mais il ne se voit pas rester dans ce milieu une fois sa carrière terminée.

Un avenir hors du rugby

Quand on lui demande ce qu’il fera après sa carrière de joueur, Cameron Woki affirme qu’il ne restera pas dans le milieu du rugby. Il ne se voit ni entraîneur ni consultant. Il envisage un futur différent, mais il ne sait pas encore exactement quelle direction il prendra. Pour l’instant, il se concentre sur sa carrière et profite pleinement de chaque instant passé sur le terrain.

Source: lefigaro.fr

Rugby : «Je ne suis pas passionné par ce sport. C’est mon métier, je l’aime mais pas plus», avoue Cameron Woki

Le rugby, une passion avant tout

Le rugby, ce sport si populaire en France, fait rêver des milliers de fans à travers le pays. Mais il semblerait que ce ne soit pas le cas pour tous les joueurs professionnels. En effet, Cameron Woki, talentueux troisième ligne du XV de France et du Stade Rochelais, a récemment révélé lors d’une interview que le rugby n’était pas réellement sa passion. « Je ne suis pas passionné par ce sport. C’est mon métier, je l’aime mais pas plus », a-t-il avoué sans détour.

Une réalité surprenante

Cette déclaration peut sembler surprenante pour certains, car on a tendance à associer le sport de haut niveau à une passion débordante. Mais Cameron Woki ne cache pas le fait que pour lui, le rugby est avant tout un travail. Bien sûr, il admet l’importance d’aimer ce qu’il fait, mais il ne ressent pas la même passion que certains de ses coéquipiers. « Je m’investis à fond sur le terrain, je donne tout ce que j’ai, mais ce n’est pas une passion dévorante pour moi », explique-t-il.

Une relation ambivalente avec le terrain

Malgré ce désamour apparent pour le rugby, Cameron Woki reste néanmoins un joueur talentueux et apprécié de ses entraîneurs et coéquipiers. Il reconnaît d’ailleurs qu’il a du respect pour le sport et ses valeurs. « Je suis chanceux de pouvoir vivre de ma passion, mais il y a aussi une part de travail et d’efforts constants », rajoute-t-il.

Certains pourraient voir cette « distance » avec le rugby comme un avantage pour Woki. En effet, cela lui permet de prendre du recul, de garder une certaine objectivité et de ne pas se laisser submerger par la pression du jeu. Cette approche plus détachée pourrait également expliquer pourquoi il réussit à relever des défis avec excellence sans que cela nécessite une passion dévorante.

Le rugby, un métier avant tout

Au final, Cameron Woki rappelle avec sincérité que le rugby, bien qu’il ne soit pas sa passion, reste son métier. Il y consacre du temps, des efforts et de l’énergie, et se donne à fond sur le terrain. Son histoire est une preuve que pour réussir dans un domaine, il n’est pas forcément nécessaire d’en être passionné.

Pour en savoir plus sur Cameron Woki et son parcours atypique, vous pouvez visiter son site officiel https://www.cameronwoki.com.